Au niveau visuel, sonore, olfactif même, la liberté du joueur est totale.
Il peut donner à son personnage l'apparence qu'il désire, voire même les apparences dans le cas d'un métamorphe des Cours - à noter que l'étiquette en vigueur là-bas reconnaît essentiellement trois formes personnelles.
On ne lésinera pas sur la beauté, du moins dans sa conception traditionnelle : tout ce que l'on considère généralement comme repoussant voire même seulement déplaisant est totalement absent - à l'évidence, on pourrait reconvertir le Palais d'Ambre en studio de modelling ou faire de quelques princes et princesses des stars de cinéma.
Dans les Cours, on peut se permettre toutes les aberrations possibles pour les formes démoniaques ou allégoriques. Sous forme humanoïde, on peut là-aussi jouer le top model, ou alors se permettre quelques petites touches démoniaques - quelques crocs, cornes, yeux rouges et autres originalités dépaysantes.